Ralhiel
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Messages : 44 Date d'inscription : 07/01/2017 Âge : 26 Logiciel graphique : Photoshop/ Photofiltre
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| Sujet: ☼ Ecrits de Ralhiel ☼ Ven 03 Fév 2017, 22:14 | |
| Hello! J'ouvre cette galerie ici pour vous faire part de mes écrits! J'aime énormément l'écriture, j'ai commencé vers 2012? Autant dire que ce n'était pas très mature tout ça! Je vous fais pour l'instant part de petits écrits et peut-être qu'un jour je posterais mes histoires (sachant que 80% sont coréennes!) Je préviens aussi que des fois, je peux toucher des thèmes pas très joyeux. Place à la lecture!
Your Smile.
- Spoiler:
Elle l’avait vu encore aujourd’hui, son sourire. Elle en était tombée amoureuse dès le premier regard. Elle savait juste que c’était un élève étranger fraichement débarqué de Thaïlande. Et il avait eu du succès directement. Elle l’observait juste. De la fenêtre de sa classe quand il faisait sport juste en-dessous. Quand il dansait, quand il marchait juste à côté d’elle. Elle passait la moitié de sa vie au lycée à le regarder, si ce n’était plus. La discrétion n’était pas son fort mais elle avait réussi, il ne l’avait jamais remarqué par chance. Ses amies ne comprenaient pas pourquoi elle restait là à rien faire. Elle aimait juste le regarder et se mentait à elle-même. Evidemment qu’elle voulait lui parler mais elle voulait toujours voir son sourire, alors elle se trouverait débile à fixer son sourire. Elle ne voulait surtout pas de ça. Alors elle restait à sa place au contraire de ces filles. Ces amies ne tinrent plus.
- Va lui parler ! Il n’est pas loin. - Elle a raison ! Il est juste à côté ! - Vas-y ! - Non, ça me va, j’aime regarder son sourire de loin. J’aime son sourire. - Et moi j’aime ton regard sur moi.
Elle se retourna, elle ne s’attendait pas à une voix masculine. La surprise s’intensifia sur son visage, il était là, juste à côté d’elle, son sourire implacable sur les lèvres. Elle n’avait pas été si discrète que ça tout compte fait.
Your T-shirt
- Spoiler:
Alors que le couple regardait tranquillement un film sur le canapé, la jeune fille fut pris de frisson. Elle se leva pour aller prendre une de ses vestes. Arrivée à leur chambre, elle en décida autrement, elle voulait un t-shirt à lui, son t-shirt favori. Elle le chercha dans la pile de vêtements pour finalement le voir tout en haut. De nature petite, elle souffla, déterminée à l’avoir. Elle grimpa sur le lit qui était juste à côté de l’armoire. Sur la pointe des pieds, elle essayait de se faire plus grande. Mais elle n’arrivait toujours pas à l’atteindre, même du bout des doigts. Elle sentit le lit bouger un peu quand une main passa autour de ses hanches et une autre la surplombait tout en attrapant le haut convoité. Elle se tourna légèrement tout en rigolant, sachant qu’elle allait se faire réprimander.
- C’est ça que tu veux ? Demanda le jeune homme. - Il se pourrait bien… - Tu penses que je suis grand pour faire déco ? - Peut-être ?
Il rigola avant de lui donner le haut et de l’embrasser sur les lèvres. Elle allait attraper le t-shirt avant qu’il ne le jette un peu plus loin.
- Tu le mettras plus tard, répliqua le jeune homme, j’ai un bon moyen pour te réchauffer.
Human
- Spoiler:
Désolé avait-il dit. Des centaines de fois. J’avais arrêté de compter, il débitait seulement ce mot. A une allure rapide. De plus en plus vite à chaque fois. Le mot ne ressemblait plus à rien au-fur-et-à-mesure qu’il mettait sa tête dans ses mains. Il commençait à se tirer les cheveux mais je l’en empêchais le plus délicatement possible pour ne pas le brusquer. Je ne voulais pas lui faire peur. Et surtout pas lui refaire revivre ce moment. Beaucoup de personne me demandait pourquoi je restais avec lui. Encore et toujours. Il parlait de lui comme un animal de cirque. Ou bien d’une expérience ratée. Ils oubliaient l’humain derrière le robot avalant ces cachets. Cachets qui pouvaient être défaillants. Laissant avoir un ordinateur un virus de temps à autre. Mais eux, ne le voyaient pas, l’humain sous cette carapace, sous cette contrainte. Il ne voyait que le mot « bipolaire » sur son front, ils avaient effacé le mot « humain » sur son cœur. J’avais beau le réécrire, ils l’effaçaient de plus belle, de plus en plus fort et de plus en plus permanant. Ils ne comprenaient juste pas que ces crises faisaient parties de lui. On me répétait sans cesse qu’il me taperait un jour ou l’autre. Mais il ne l’a jamais fait. Il en a eu des occasions. Tellement, peut-être le même nombre de fois qu’il répète ce mot « désolé », à chaque crise. Il n’avait jamais touché ses parents. Et pourtant, petit, il aurait pu. Mais non. Ces parents me remercient à chaque fois qu’ils me voient. Ils me remercient de voir l’humain. Il avait relevé la tête vers moi, les larmes répandues sur son visage. Des larmes de tristesse et de colère. « Je t’aime » lui murmurais-je avant de cacher ces larmes. Il est juste bipolaire. On est tous bipolaires mais certains plus prononcés que d’autres. Et si vous voulez le traiter de robot, sachez que c’est le robot le plus humain au monde.
Drawing
- Spoiler:
Désolé avait-il dit. Des centaines de fois. J’avais arrêté de compter, il débitait seulement ce mot. A une allure rapide. De plus en plus vite à chaque fois. Le mot ne ressemblait plus à rien au-fur-et-à-mesure qu’il mettait sa tête dans ses mains. Il commençait à se tirer les cheveux mais je l’en empêchais le plus délicatement possible pour ne pas le brusquer. Je ne voulais pas lui faire peur. Et surtout pas lui refaire revivre ce moment. Beaucoup de personne me demandait pourquoi je restais avec lui. Encore et toujours. Il parlait de lui comme un animal de cirque. Ou bien d’une expérience ratée. Ils oubliaient l’humain derrière le robot avalant ces cachets. Cachets qui pouvaient être défaillants. Laissant avoir un ordinateur un virus de temps à autre. Mais eux, ne le voyaient pas, l’humain sous cette carapace, sous cette contrainte. Il ne voyait que le mot « bipolaire » sur son front, ils avaient effacé le mot « humain » sur son cœur. J’avais beau le réécrire, ils l’effaçaient de plus belle, de plus en plus fort et de plus en plus permanant. Ils ne comprenaient juste pas que ces crises faisaient parties de lui. On me répétait sans cesse qu’il me taperait un jour ou l’autre. Mais il ne l’a jamais fait. Il en a eu des occasions. Tellement, peut-être le même nombre de fois qu’il répète ce mot « désolé », à chaque crise. Il n’avait jamais touché ses parents. Et pourtant, petit, il aurait pu. Mais non. Ces parents me remercient à chaque fois qu’ils me voient. Ils me remercient de voir l’humain. Il avait relevé la tête vers moi, les larmes répandues sur son visage. Des larmes de tristesse et de colère. « Je t’aime » lui murmurais-je avant de cacher ces larmes. Il est juste bipolaire. On est tous bipolaires mais certains plus prononcés que d’autres. Et si vous voulez le traiter de robot, sachez que c’est le robot le plus humain au monde.
Beauty of the death
- Spoiler:
Il m'avait regardé. Il m'avait fait sentir femme, aimée. Il m'avait fait sentir comme jamais, le plus beau sentiment qu'une personne pouvait ressentir. Alors pourquoi? Pourquoi était-il la ? Dans cette flaque d'une couleur magnifique, un rouge foncé qu'un peintre ne pourrait que jalouser, impossible a refaire. Pourquoi était-il beau dans cette lumière généreusement partagée par la lune, par ce ciel étoilé? Pourquoi ? Pourquoi la vie est ainsi injuste? Pourquoi est-il le plus beau en étant mort? Il était merveilleux. Mais je ne le voulais pas comme ça, il était si parfait ainsi. J'aime ces défauts, plus que tout. Sa maladresse caché sous ses jurons, sa voix de canard suite à un rhume. Alors s'il te plait, bouge. Ne sois pas la beauté de la mort.
Liar
- Spoiler:
Dans cette salle noire, je l'avais directement reconnu grâce à sa voix. Il n'y avait que lui pour en avoir une comme ça. Je le savais.
Il pouvait correspondre à ce que j'aimais chez les hommes. Il aurait pu. Mais cela aurait fonctionné si le feeling était passé.
On n'a quand même réussi un exploit tous les deux. Faire penser à tout le monde que l'on s'aime, que l'on s'entend parfaitement bien. Deux âmes liés et préoccupées par l'autre.
Je devrais songer a faire actrice. Vraiment. Je devrais me pencher sur métier. J'y arriverais sûrement très bien. Tout comme lui, l'acteur et mannequin, on est peut-être complementaire sur une chose, la beauté du mensonge.
Dance
- Spoiler:
Je le regardais, bouger gracieusement. La musique l'emportant dans un autre monde, un univers rien qu'à lui, un univers créé de ces mains; des ces mouvements. Il était beau, libre, sauvage, doux. Chaque geste exprimait une pensée, une conviction, un péché. Je ne dansais pas mais pourtant je commetais un péché, je me languissais chaque jour de le voir. Chaque soir à la même heure, aux mêmes endroits. Il pouvait répéter le même pas; la même chorégraphie, des heures ou des années, je m'en moquais. J'avais l'impression de voir une nouvelle dimension à chaque fois. Mais je l'évitais toujours en dehors. Quand il passait dans les couloirs, je ne le regardais même pas, je l'ignorais complètement. Je ne l'aimais pas; je le détestais même. Il était arrogant; il savait qu'il était plutôt bien bâti, un visage avantageant. Il le savait. J'étais la jeune incompris. Les filles ne comprenaient jamais mon point de vue, les mecs n'ont plus d'ailleurs. Eux qui se plaignaient a chaque fois que la fille qu'ils aimaient, l'aimait lui. Débile à mon sens. Il avait déjà vu ma rancoeur à son égard. Il avait rigolé, un rire dédaigneux. De mon point de vue, pas de celui de mes amies. Encore plus débile.
Mes sentiments étaient contradictoires, je l'aimais le soir; le détestait la nuit. Mais il ne le saura jamais. Pour mon plus grand plaisir.
Dix-huit heures sonna, il devait déjà être en train de danser. Je me depechais de rejoindre le bâtiment de danse. Silencieusement, je m'infiltrais à l'intérieur. La musique résonnait mais la salle était vide. Je ne pouvais pencher énormément ma tête, il pouvait être sur le côté. La musique semblait vide de sens sans sa danse. Un univers qui s'ecroulait dans son Roi; son créateur. Un bruit retentit derrière moi, un corps se rapprocha de mon dos, un souffle à mon oreille.
- Je t'attendais.
Son rire n'était peut-être pas si dédaigneux que ça
Je t'aime.
- Spoiler:
Il était la, posé simplement contre un mur. Attendant patiemment ma venue. Il était beau, il était magnifique. Il n'y avait aucun mot pour le décrire. Pour moi, il était mieux qu'un Dieu. Malgré ses imperfections, des traces d'acnes, une cicatrice sur le corps, ses ongles rongés, sa maladresse. J'aurais souri en temps normal peut-être même sauter dans ces bras. Mais la situation n'était pas propice à cela. Les derniers jours d'horreur de dessinaient sur son visage, sur mon visage. Nos gorges noués, a vif. La voix éteinte, inexistante suite aux hurlements.
Il tourna la tête dans ma direction. Et le cliché opéra. Les personnes aux alentours n'existaient plus, je ne voyais que lui. Et j'imaginais les larmes qui avaient dévalé ses joues. Habituellement; son sourire aurait traversé son visage. De l'incomprehension, de l'hésitation remplaçait son beau sourire. Son si beau sourire qui me donnait envie de l'embrasser.
J'avançais finalement vers lui, ne voyant que lui, ne croyant que lui. Il m'attrapa pour me protéger tout en s'excusant. Je m'étais mise à pleurer. Dans ses bras, je craquais, je lui murmurais ces mots que je pensais chaque fois que je le voyais.
- Je t'aime.
Far away...young Love
- Spoiler:
Nous sommes tous les deux dans un petit café, dans notre monde. Rien n’existe autour. Je te donne un morceau de gaufre comme tu me le demandes retirant quelques secondes mon bras autour de tes douces épaules. Je te regarde, heureux quand quelqu’un frappe à la fenêtre du café. Je tourne la tête, mes yeux s’écarquillent. Tu es dehors en frappant et en m’appelant « Jun-ah, Jun-ah ». Je tourne une nouvelle fois la tête vers toi, celle qui est dans mes bras. Tu es toujours là. Tes petits yeux caramel qui regardaient nos doigts entrelaçaient. Ton sosie dehors me demandait d’ouvrir. Je la regardais toujours. Mes yeux papillonnent. Je regarde où je me trouve, je suis dans une voiture. Notre voiture. Tu continues de frapper à la fenêtre en me demandant d’ouvrir. Je te regarde ne comprenant pas ce qu’il se passe. Et il arrive, il place ses bras autour de ta taille et pose sa tête sur ton épaule. Il te demande si tu m’as réveillé et tu réponds par la positive. Lui. Mon meilleur. Toi. Celle que j’aime. Lui. Ton amant. Lui. Mon ennemi. Vous me dites qu’on y va. Vous faites le tour de la voiture dans les bras l’un de l’autre. Je me demande si c’était un rêve, déçu. Une larme imaginaire traverse ma joue. Je me ressaisi quand vous montez dans la voiture tous les deux. Tu te places au milieu comme à ton habitude. Je suis toujours désorienté, tu me passes ma boisson. Il te demande la sienne, tu le chambres un peu et il chuchote des paroles dans ton oreille. Tu rigoles. Il me demande si je vais bien et je réponds par la positive qu’alors mon cœur ne demande qu’à crier toute sa peine. Tu me souris et passes ton bras autour de tes épaules, sans arrière-pensée. Mes lèvres ne peuvent plus bouger, aucune phrase cohérente ne veut sortir. Il conduit et tu le câlines tout le long. Je vous regarde sur le côté pour ensuite me focaliser sur le paysage. Cette vision étant trop douloureuse. On s’arrête à une station. Je descends de la voiture, tu me suis toute heureuse de pouvoir bouger un peu. Je t’admire sans que tu ne le remarques. Il sort aussi et tu vas direct dans ses bras. Je reste en retrait derrière. Tu te retournes vers moi puis te focalise de nouveau sur lui. On rentre à l’intérieur, vous choisissez de votre côté tandis que moi, seul dans mon coin. Je te regarde de loin comme je le fais tout le temps. Je me détourne quelques secondes choisissant enfin ma boisson. Vous êtes déjà sorti, je sors les portes automatiques s’ouvrent et je vous découvre dans la voiture en marche, me laissant seul ici. Enervé, je balance ma boisson parterre. Je peux entendre vos éclats de rire, vous qui êtes de l’autre côté. Vous revenez, tu ouvres la portière, descendant un peu. T’appuyant dessus pour te faire pardonner, je monte à ta suite. Je ne peux te résister, je ne fais que céder à tes caprices. Tu passes de nouveau ton bras autour de mes épaules. Ta chaleur m’envahit mais toi ça ne doit rien te faire, n’est-ce pas ? Je suis le seul à t’aimer dans l’histoire. On se dirige vers un endroit que tu aimes tant la plage. Tu sors toute joyeuse, je t’observe un sourire jusqu’aux lèvres qui disparait quand tu te jettes immédiatement dans ses bras. Tandis que ton sourire s’élargit lui au contraire du mien. Je reste en retrait, loin de votre amour qui m’est si douloureux. Tu viens me chercher passant un bras sur les épaules de chacun. On regarde la fin du coucher de soleil, du moins vous. Moi je n’ai d’yeux que pour toi. Ton regard m’a interpellé dès le début mais pourquoi le tien s’est tourné vers le sien ? Tant de question sans réponses qui se bousculent dans ma tête qui va exploser. On marche le long de la plage, je suis toujours en retrait ne supportant pas votre bulle de bonheur. Tu me regardes en arrière, ton sourire ayant déserté ton visage. De la tristesse ? Ou de la pitié ? Je ne saurais le dire. Pourtant tu te retournes rapidement vers qui celui ton cœur a choisi. On pose notre tente, tu es collée à lui, frigorifiée. Je vous regarde, la haine remonte en moi. Je me lève de mon siège et balance un morceau de bois dans le feu sous votre incompréhension. Je vais me coucher, une bonne nuit de sommeil j’en ai bien besoin. Un jour, mon meilleur ami vint me chercher, tu n’étais pas présente. On rentre dans un petit café. Mon sourire sur les lèvres devient moins évident quand je te voie en compagnie d’une jeune femme. Tu nous accueilles un immense sourire sur les lèvres. Tu me présentes ton amie. Tu t’échappes avec ton amant me laissant seule avec cette inconnue. Elle a tout pour elle, elle plairait à n’importe qui mais pas à moi. Je ne vois que toi, ton sourire magnifique qui m’inspire la joie de vivre tout de suite. Tes petits yeux pétillants qui annoncent l’amour. La jeune femme rigole pendant leur présence et s’arrête tout de suite en voyant mon désintérêt total. On se dit au revoir et je m’éclipse dans le sous-sol pour récupérer la voiture. J’aurais dû m’abstenir, vous êtes tous les deux-là à batifoler. Je tourne la tête, compressant mon sentiment de tristesse qui m’envahit subitement. Je me cache derrière un muret, ma tête se tourne tout de même vers vous. Je maudis mon côté curieux. Votre amour s’affiche encore pendant notre partie de billard. Je t’observe en oubliant presque mon ami, il revint tout de suite dans ma vision quand un geste tendre de sa part arrive. Il me regarde et me sourit, je détourne le regard recommençant à jouer. Un jour, voulant être seul. Je me promène dans la rue. Le monde s’entasse autour de moi quand je décide de relever la tête. Lui. Devant moi. Au bras d’une autre femme. Celle que tu m’as présenté. Il me regarde, ses yeux s’écarquillent. La fille comprend le problème et reste en retrait. Mon poing se crispe et atterrit dans ta figure. Un papillonnement de mes yeux me fait comprendre que je n’avais fait que penser. Il me prend à part et me dit de me taire. Ma mâchoire se contracte, il repart comme il était arrivé, batifolant avec cette femme sans vergogne. Je rentre à la maison, celle que nous partageons. Je descends les escaliers et te regarde. La scène se repasse dans ma tête. Je finis de descendre les escaliers, tu remarques ma présence. Tu me souris ne sachant pas la vérité. Tu me passes une veste que tu créais pour lui, je te regarde, imaginant ce qui pourrait se passer. Tu t’énerverais contre lui. Lui contre moi, il prendrait ses bagages et partirait. Toi tu serais en pleurs. J’enlève la veste, te la balançant dessus. Tu ne comprenais rien à ce moment-là. Je partis en courant dehors, il me fallait de l’air. J’allais exploser, je partis prendre la voiture pour faire un tour. Etant assez loin, je me garais et réfléchissais. J’avais peur de te perdre, que tu disparaisses. Je décidais de t’appeler, tu semblais avoir compris la situation car tu me dis la phrase fatidique, « je crois qu’il voit une autre femme », seul un « yah » sorti de ma bouche. Tu te mis à pleurer au téléphone, je criais ton nom sans réponse. Je sortis de la voiture, j’avais besoin de courir pour me défouler. J’arrivais au café comme tu me l’avais dit, je te voyais pleurer. Je m’arrêtais quelques secondes t’observant derrière la vitre. Tu pleurais quand il arriva. Tu résistas, tu restas stoïque. Sous le coup de la colère tu te levas, il te prit dans ses bras. Mon visage se décomposa. Tu ne bougeais pas puis je vis ton bras hésitant remontait doucement. C’était fini, j’avais perdu ma seule chance. Je me retournais m’apprêtant à partir. Après deux pas je me retournais pour vous observer deux secondes. Tu lui avais pardonné. Et si nous devions nous éloignés ? – Kang Jun. Ce dernier texte est en rapport à un clip d'une chanson!
J'espère que cela vous aura plus! N'hésitez pas à me le dire!
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Noctali
Un peu plus... Rôle / Ancien rôle : Administratrice, ancienne modératrice. Décris-toi : Désordonnée, maniaque, brouillonne, gourmande, otaku, lunatique, colérique par moment. Mais aussi calme, joueuse, respectueuse, motivée et débordante d'imagination ! Famille et relations : Juh UP Family ! *^*
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Ralhiel
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| Sujet: Re: ☼ Ecrits de Ralhiel ☼ Ven 17 Mar 2017, 21:02 | |
| Oui! Et je reviens actuellement avec deux petits textes de deux personnages que j'ai crée comme ça ! - Spoiler:
Axelle.
Je t'ai toujours regardé. Toujours. Appuyé contre ton casier, souriant à tout bout de champs aux filles qui se pavanaient devant toi. Tu étais différent des autres et tout le monde te voulait. Même moi. Moi, la jeune fille qui n'en a strictement rien à foutre des autres. Moi la fille qui est à la marge car trop original pour les autres. Mon regard a toujours été focalisé sur toi. Comme si j'étais doté d'un radar à Léo, d'un radar qui ne fonctionne que pour toi. Tu sais, dans les films, les héroïnes voient des lumières autour de celui qu'elles aiment. J'ai toujours trouvé ça niais, stupide. Et encore, je pèse mes mots. Mais voilà que maintenant c'est pareil pour moi, ça m'arrive. A cause de toi. Je vois des petites étoiles autour de toi, cela te rend plus...beau ? Je ne sais pas réellement pourquoi elles sont là d'ailleurs. Je ne t'ai jamais parlé. Ah si, une fois. Pour te dire de dégager de devant mon casier. Pas banal comme première fois. Je me souviens encore de ta tête surprise. Oui quelqu'un pouvait te parler comme ça, quelqu'un pouvait ne pas être tombé sous ton charme. Mais au moins, ça m'a permis de me faire remarquer sans m'en rendre compte. Je n'étais plus la seule à te regarder. Toi aussi tu me regardais. Et tu me souriais, tandis que moi. Moi. Oh grande timide. Je m'enfuyais, oui je m'enfuyais et toi, tu jouais à m'attraper. J'étais devenue une petite souris, la proie à avoir, le prix avec lequel on se vante.
Dis-moi, Léo, t'es-tu bien amusé ? Parce que maintenant, c'est à moi de jouer. Ce n'est plus toi qui mène le jeu, ce n'est plus toi qui fait les règles. C'est moi.
Bienvenue en enfer Léo.
Et un deuxième. - Spoiler:
Léo. Axelle.
Un prénom bien banal pour tout le monde mais pour moi, non. Il est tellement important et insignifiant à la fois. Important car il désigne la personne qui m'est le plus chère au monde. Insignifiant car il ne la représente pas assez. Je la vois encore, elle, ses petits cheveux colorés ou décolorés, la couleur n'existant plus réellement. Ces cheveux qui ne reflètent qu'une âme brisé en éparpillant toutes les couleurs possibles. Son corps ou les tatouages se sont encrés pour la définir. Son petit nez rougi par le froid tandis qu'elle s'amuse à faire de la fumée. Cette jeune fille est censée être majeure mais elle agit comme si elle n'avait que huit ans. La naïveté envahit son esprit pour contredire la tristesse de son corps. Elle est si fragile Axelle. Elle est si forte Axelle. Elle est si belle Axelle. Elle est si enfantine Axelle. Elle est tout Axelle, elle est Leo. Mais dit moi Axelle, toi et ton petit sourire mesquin, pourquoi aviez-vous pris possession de mon cœur ? J'en ai besoin pour vivre, Axelle. Tu me traites d'égoïste mais tu l'es aussi Axelle.
Axelle, dis-moi, je suis quoi pour toi ?
Vraiment Axelle, j'aimerai bien que tu me le dises. Car pour moi, tu es mon infini, mon tombeau, ma mort, ma vie, mon erreur, ma réussite.
Je crois qu'on appelle ça une âme sœur. J'entends déjà ton rire résonnait dans mes oreilles face à cette stupidité qui ose écorcher mes lèvres en manque des tiennes.
Ha Axelle, je suis si stupide. Mais je peux être le contraire des fois. J'ai été intelligent une fois dans ma vie. Je suis tombé amoureux de toi. La voilà mon intelligence, Axelle.
Leo.
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